Un des aspects les plus importants de notre vie quotidienne est l’endroit où nous vivons, c’est à dire notre maison.

On est habitue à considérer la pollution comme un phénomène extérieur et on s’inquiète seulement sur les brouillards de fumée et la contamination de l’eau. Il arrive souvent qu’on ne s’aperçoit pas du fait que la pollution domestique soit 65-200 fois plus grande que celle de l’extérieur et qu’un milieu apparemment hors de danger puisse occulter beaucoup de périls.
Le Conseil National de la Recherche a conduit une étude sur la pollution domestique, afin de protéger la population impliquée dans le travail à la maison. En effet, il y a plus de 150 substances dangereuses qui nous affectent chaque jour, ayant des conséquences négatives pour notre santé et pour l’environnement. La poussière domestique est, en effet, une mixture de substances, parmi lesquelles on identifie du pollen, des restes alimentaire, des résidus des poils organiques et synthétiques, de la pellicule.

La composante allergénique la plus importante est formée par les acariens (Dermatophagoides pteronyssinus, Dermatophagoides farinae et Euroglyphus maynei). La prévention et aussi la thérapie des plusieurs maladies allergiques qu’ils provoquent doivent commencer avec la réduction  de la concentration des acariens dans le milieu domestique. D’une manière simple et efficace, notre équipement assure tant le renouvellement que la ionisation des contaminants, ressemblant l’effet purificateur de la pluie.

LES ACARIENS

acaroLes acariens sont des insectes microscopiques (d’environ 1/3 mm) qui habitent des environnements chauds et humides (la température entre 20°C et 30°C et l’humidité de plus de 55%) ; ils consomment les dérivées de la peau humaine ou animale, ainsi que de petites quantités de pellicules (dont une personne produit en moyenne 500-1000 mg chaque jour !) suffisent à nourrir des milliers d’acariens pour quelques semaines. Les acariens morts et les particules fécales que les individus vivants produisent sont allergènes.

Ces allergènes peuvent s’attacher à la peau ou à la muqueuse respiratoire et provoquer une réaction inflammatoire aux individus allergiques, accompagnée par prurit, dermatite, rhinite, conjonctivite, ou asthme. Les acariens sont cosmopolites, ils prospèrent partout où la température et l’humidité sont compatibles à leur reproduction et survie. C’est pourquoi que l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré les acariens domestiques un problème de la sante publique dans le monde. Leur présence dans les maisons est pratiquement inévitable, partout où il y a des sofas rembourrés, des oreillers, des tapis, des jouets peluchés, des couvertures…

Les acariens domestiques sont de plus en plus nombreux dans nos maisons, dû aux systèmes de chauffage, à ceux qui empêchent la circulation de l’air et aussi aux autres agents de l’environnement (l’air conditionné, les tapis, les murs, les meubles).